sylvie ducret
comportementaliste canin
15, 16 et 17 septembre 2023 :: salon Bi'Obernai
Je vous remercie d'être venus nombreuses et nombreux au salon, et me poser vos questions relatives à vos amis à 4
pattes.
Je vous donne rendez-vous l'année prochaine du 13 au 15/09/2024.
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plus
Ma revue de presse
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 21 juillet 2017
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 10 mars 2017
- Carsat de juillet 2013
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 26 octobre 2011
- 20 Minutes du 25 octobre 2011
- 30 Millions d'Amis de mars 2011
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 17 janvier 2010
- L'Alsace du 17 février 2008
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 6 mai 2007
- Est Républicain du 15 avril 2007
- Schillick Ensemble de mars 2007
- L'Alsace Colmar du 25 mars 2007
- L'Alsace du 18 février 2007
- Dernières Nouvelles d'Alsace du 30 janvier 2006
- L'Alsace du 29 janvier 2006
- Z'Animos du 1er mars 2004
- Z'Animos du 1er décembre 2003
- Est Républicain du 15 juin 2003
Reportages télévisuels sur mon activité
Est Républicain du 15 avril 2007
Tout sur les toutous
Au salon Animalia, deux comportementalistes conseillent les propriétaires
de chiens
On attend 7.500 visiteurs sur les deux jours.
338
chiens, 10 chatons et quelques lapins nains attendaient hier, au Parc des
Expositions, leurs nouveaux maîtres. Le salon Animalia, qui
se poursuit aujourd'hui jusqu'à 19 h, rassemble 32 éleveurs
de toute la France qui présentent une soixantaine de races sur les
420 reconnues par la Société centrale canine. Bouledogues,
rottweilers, boxers, sharpeï, bull-terriers standards et miniatures,
bouviers bernois, cavaliers King Charles, cockers américains, dogues
de Bordeaux, samoyèdes, shi-tzu... avec ou sans pedigree sont à vendre
de 350 à 1.500 euro, selon les espèces. Dans le même
hall, on peut se procurer de la nourriture canine, des laisses et colliers.
Organisateur du salon, Rémi Girardeau, espère, sur les deux
jours, autant de visiteurs que l'an dernier, c'est-à-dire 7.500.
Les dix chatons et 50 % des chiots devraient trouver preneurs. Hier, Stéphanie
et Fabien de Sommerviller étaient venus avec leur fillette pour acquérir éventuellement
un second bouvier. Ils se sont fixé un budget de 1.200 euros. Leur
premier animal leur coûte, chaque mois, 54 euros en croquettes. Elle
est agent de service et lui électricien. L'achat d'un second animal
représenterait près de la moitié de leur revenu mensuel.
L'entretien d'un animal de compagnie a aussi un coût les frais de vétérinaire,
voire d'un comportementaliste, si besoin.
A défaut d'être véto
Ils sont deux sur le salon, sortes de psychologues de la gent canine. Sylvie Ducret, 34 ans, est installée en Alsace à Schiltigheim. Depuis sa plus tendre enfance, elle a toujours aimé travailler avec les chiens. « J'ai toujours fait tout ce que j'ai voulu avec eux. J'aurais souhaité être vétérinaire, mais j'étais nulle en maths. » Pourtant, elle a travaillé comme comptable durant 10 ans. Parallèlement, elle dressait son chien - un golden retriever - au sein du club canin. Elle a décidé de suivre un stage d’éducateur canin à la Société centrale canine mais a abandonné au bout de quelques mois parce que la méthode ne lui convenait pas. Elle a préféré prendre conseil auprès de Michel Chanton, éthologiste reconnu, auprès de qui elle a suivi un stage de moniteur d'éducation canine et une formation de comportementaliste.
« Avant d'être un labrador ou un cocker, un chien est d'abord un chien. Tous ont les mêmes codes de communication, les mêmes rituels de menace, de soumission. Un chien, quel qu'il soit, va interpréter les comportements humains en globalité, de la même manière. Ensuite, en fonction de sa personnalité, il saura ou non s'adapter à l'environnement. La taille du chien ne fait pas sa spécificité, mais il y a des aptitudes naturelles en fonction des races. Un chien de chasse a un instinct de chasse plus relevé qu'un chien de compagnie, un chien de berger aura tendance à vouloir rassembler le troupeau ou la famille et le labrador, contrairement au boxer, a une aptitude à porter tout ce qu'il trouve. Quand on prend un chien, on peut avoir des difficultés à se mettre à la hauteur de ce que l'animal peut comprendre », explique Sylvie Ducret. Il y a deux courants chez les comportementalistes : ceux qui ne voient pas l'animal et ceux qui se rendent à domicile. Sylvie Ducret appartient à cette seconde catégorie.
« Quand j'arrive chez les gens, l'attitude du chien me renseigne. J'aide les gens à se faire mieux comprendre par leur chien et pas l'inverse. Le premier entretien dure deux à trois heures durant lesquelles je recherche la ou les causes du problème. J'aiguille les propriétaires et je fixe un second rendez-vous, un mois plus tard, pour faire le point. Je facture à l'entretien: 130 euros pour les deux séances (80 pour la première et 50 pour la suivante) ». Quand le chien mord, c'est souvent parce que son maître montre les crocs.
Didier HEMARDINQUER Animalia, au parc des Expositions, ce dimanche de l0 h à l9 h
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